• baigneur manquant

     

    Les plongeurs de la Sureté du Québec poursuivent toujours les recherches depuis cet après-midi dans le secteur de Shannon, afin de retrouver un jeune homme dans la vingtaine qui manque à l'appel après une baignade qui a mal tourné.

     

    Les services d'urgence sont sur place. Des témoins affirment qu'ils ont perdu la trace de la victime qui se trouvait dans l'eau.

    L'incident a été signalé vers 14h15.

    Deux jeunes ont tenté sans succès de sortir la victime de l'eau alors que celle-ci se débattait vigoureusement. Pour leur propre securité, ils ont choisi de prendre un pause et le malheureux aurait ensuite disparu.

     


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  • agression sexuelle

     

     

    Francis Cossette, 46 ans, a plaidé coupable à cinq des neuf chefs d'accusation qui pesaient contre lui cette semaine au Palais de justice de Saint-Joseph-de-Beauce.

    Les accusations qui pesaient contre lui étaient principalement des crimes à caractère sexuel, des voies de faits armés et des menaces de mort.

    Les événements se sont déroulés entre 2005 et 2010 allant d'attouchements à des relations sexuelles complètes. La victime alors âgée entre 7 et 9 ans a été agressée à plusieurs reprises.

    Elle a finalement dénoncé son agresseur en communiquant avec un ami qui l'a amenée au poste de police de Saint-Georges pour porter plainte.

    Le jugement dans cette cause devrait être prononcé le 22 mars prochain.

     


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  • salaire a quebec

     

     

    L’écart entre le salaire des employés du gouvernement du Québec et celui des autres salariés de la Belle Province est de 11,3 %, selon une étude de l'Institut de la Statistique du Québec (ISQ) publiée mercredi.

     Photo : Agence QMI

    Cet écart est de 8,3 % par rapport aux salariés du secteur privé. « Quatre catégories d’emplois sur cinq accusent un retard salarial de l’administration québécoise par rapport aux autres salariés québécois », indique l’étude.

    L’écart le plus important se trouve dans la catégorie des ouvriers : un ouvrier de l'administration publique reçoit un salaire inférieur de 28,9 % par rapport à un ouvrier du privé. Les salaires sont équivalents dans une catégorie d’emploi : les employés de service.

    L'ISQ indique par ailleurs que pour certaines catégories d'emplois, « les maximums des échelles salariales de l’administration québécoise sont moins élevés que ceux de l’ensemble des autres salariés québécois et du secteur privé. »

    Selon Jacques Létourneau, vice-président de la CSN, « les données de l'ISQ démontrent que les salaires des employés, tout comme leur retraite d'ailleurs, sont loin d'être aussi avantageux que ce que certains avancent. Au contraire, l'écart avec les autres salariés du Québec se creuse d'année en année ».

    Les organisations syndicales notent qu'en incluant au salaire les avantages sociaux et les heures travaillées, le retard est, dans certains cas, beaucoup plus considérable.

    « Il est par exemple de 50,4 % pour un préposé aux télécommunications, de 38 % pour un magasinier, de 28,9 % pour un ouvrier et de 23,1 % pour un analyste en informatique », soutiennent-elles.

    Les résultats de l'étude démontrent, selon les syndicats, que le gouvernement pourrait avoir des difficultés à « attirer et retenir les services de personnels hautement qualifiés dans le contexte de pénurie de main-d'œuvre qui se profile. »

    Selon la loi, l'Institut de la statistique du Québec doit comparer et publier annuellement la rémunération globale des salariés de l’administration québécoise et de celle des autres salariés québécois.

    La comparaison a été réalisée en tenant compte des salaires de 2011 et porte sur les entreprises de 200 employés et plus. Dans le cas des municipalités, la comparaison a pris en considération les villes de 25 000 habitants et plus qui comptent au moins 200 employés. Au total, 76 emplois répartis dans cinq catégories d'emplois ont été examinés.

    À noter que les PME, où se retrouve la majorité des emplois au Québec, n'ont pas été considérées dans l'étude.


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  • accident

     

    Une femme a fait un spectaculaire accident après avoir perdu conscience au volant de son automobile alors qu'elle descendait la côte Salaberry.

    La dame, qui revenait de s'être fait enlever des points de suture au CLSC situé au coin des rues Saint-Jean et Salaberry, aurait eu un malaise au moment de prendre le volant. Inconsciente, la conductrice avait à ce moment le pied sur l'accélérateur. Celle-ci a ensuite percuté une autre voiture stationnée qui a servi de frein pendant qu'elle dévalait la côte.

    La course folle des deux voitures s'est terminée contre le mur de béton qui sert de rempart avant la falaise. La conductrice a rapidement été secourue par un paramédic qui passait par hasard à cet endroit. La victime a été transportée dans un centre hospitalier pour soigner ses blessures.

     

    Accident a la Cote Salaberry

     

     

     

    La vitesse pourrait être à l’origine d’un impressionnant accident survenu vers deux heures, cette nuit, à Saint-Jean-Chrysostome.

    L’automobiliste de 21 ans circulait en direction sud sur la rue Commerciale lorsque, pour une raison inconnue, elle aurait perdu la maitrise de son véhicule.

    « Elle a percuté la maison située au 1026, pour se retrouver sur le capot », résume François Bisson, porte-parole pour le Service de police de la Ville de Lévis.

    Les pinces de désincarcération ont été nécessaires pour extirper la conductrice, coincée dans sa voiture. Sa passagère, une femme de 24 ans, a toutefois pu se tirer elle-même de sa fâcheuse position. Elles ont toutes deux été conduites à l’hôpital pour traiter des blessures mineures.

    La route a été fermée dans les deux directions, afin de permettre aux experts en reconstitution d’accident de la Sûreté du Québec de tenter de déterminer les manœuvres qui auraient pu mener à cet accident. Selon M. Bisson, la vitesse pourrait être en cause. Il n’est pas écarté que des accusations criminelles puissent tomber sur la conductrice.

     

     


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  • news

     

    Trente personnes soupçonnées d'être des travailleurs illégaux ont été arrêtées lundi soir dans des centres commerciaux d'Ottawa et de Gatineau, lors d'une descente effectuée par des agents des services frontaliers du Canada.

     

    Quinze personnes ont été arrêtées dans chaque ville. Mardi, l'Agence des services frontaliers du Canada ne pouvait pas dire d'où elles étaient originaires ni depuis combien de temps elles travaillaient au pays.

    «Elles vendaient des produits de beauté dans des kiosques à l'intérieur de centres commerciaux», a indiqué Stéphane Malépart, porte-parole de l'Agence des services frontaliers, sans toutefois préciser les noms des entreprises.

    Un kiosque de l'entreprise de soins de beauté Seacret est installé dans le centre commercial Bayshore, à Ottawa. Des témoins ont raconté à l'Agence QMI avoir vu un homme dans la jeune vingtaine être escorté menottes aux poignets par quatre policiers et quatre agents de l'ASFC, peu avant 14h lundi.

    Les policiers d'Ottawa et de Gatineau ont prêté leur assistance lors de ces 30 descentes.

    Selon M. Malépart, chaque cas sera traité séparément lorsque les individus arrêtés comparaîtront devant la Commission de l'immigration et du statut de réfugié. «Ils pourraient en venir à être expulsés du Canada», a-t-il mentionné.

    Les 30 travailleurs sont actuellement détenus à Laval, où ils comparaîtront en cour jeudi.

     


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