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    Le chef du Parti libéral du Canada se joint au concert de protestations contre le Sommet de Montebello qui se tiendra dans quelques jours. Stéphane Dion réclame plus de transparence du premier ministre Stephen Harper par rapport aux discussions sur le Partenariat pour la sécurité et la prospérité. Ces discussions auront lieu lundi et mardi dans le cadre d'un Sommet qui réunira Stephen Harper et les présidents américain et mexicain, George W. Bush et Felipe Calderon, ainsi qu’un groupe restreint de gens d'affaires. Stéphane Dion reproche au premier ministre conservateur de vouloir trop souvent copier le modèle américain. «Les Américains sont pour nous un ami, un allié, et non pas un modèle», a déclaré le chef libéral. M. Dion veut que toutes les discussions qui concernent les Canadiens soient rendues publiques et débattues. Il demande aussi au premier ministre Harper d'avertir le président Bush que la mission canadienne en Afghanistan prendra fin en février 2009.

     

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  • TAXE

     

     

     

    En attendant de faire parvenir à l'Agence de la santé publique du Canada une demande officielle pour instaurer une taxe spéciale sur les boissons sucrées, la Coalition québécoise sur la problématique du poids souhaite que les étiquettes des bouteilles affichent clairement leur faible valeur nutritive. Un tel affichage diminuerait la propension des 13-17 ans à boire des boissons sucrées selon l'organisme, qui divulguait mardi cinq recommandations visant à contrer le fléau de ces breuvages. « L'industrie utilise l'ajout de vitamines et minéraux comme prétexte que c'est bon pour la santé et ainsi promouvoir leurs boissons sucrées, ce qui peut semer la confusion chez les consommateurs », a fait valoir Véronique Provencher, du département des sciences des aliments et de nutrition à l'Université Laval. La coalition recommande également que soit indiqué sur l'étiquette « Déconseillée aux moins de 18 ans ». Parmi les boissons sucrées figurent les boissons énergisantes, dont 35 % des jeunes avouent faire une consommation occasionnelle, selon un sondage du Réseau du sport étudiant du Québec (RSEQ). Plus inquiétante encore est la proportion de jeunes qui croient que les boissons énergisantes donnent réellement de l'énergie (54 %). L'industrie confronte Une taxe sur les boissons sucrées, comme c'est le cas en France, freinerait la consommation de ce genre de boissons, note Nathalie Jobin, nutritionniste à Extenso, le Centre de référence sur la nutrition humaine. « Ces breuvages sont un peu comme un produit de luxe. Y ajouter une taxe spéciale n'empêchera personne de manger, et l'argent récolté pourrait être redistribué dans des campagnes d'éducation et de sensibilisation », a-t-elle affirmé. Ce type de déclaration n'a rien pour réjouir les entreprises, comme l'indique Martin-Pierre Pelletier, conseiller spécial à l'Association canadienne des boissons. « On n'est pas d'accord avec le ton utilisé par les organismes ni leur attitude. Ça fait un an que l'industrie a pris l'initiative de mettre le contenu en calories sur les étiquettes », a-t-il rétorqué. Et pour la taxe, pas question d'aller de l'avant. « Nous sommes tout à fait en désaccord, s'insurge M. Pelletier, car l'obésité est un problème multifactoriel et taxer les boissons gazeuses ne réglera pas ce problème. » La coalition devrait émettre des recommandations supplémentaires au mois de février.

     

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  • Vaincre la mort

     

     

     

     

    QUÉBEC - Le 16 avril 2007, Louis Turmel, 22 ans, apprenait, dans une salle de couleur drabe qu'il avait un cancer généralisé. Cinq ans plus tard, après avoir valsé avec le spectre de la mort, son médecin devrait lui annoncer que son calvaire est terminé. « J'avais un choriocarcinome, une tumeur non séminomateuse qui est très rare. Mes deux poumons étaient atteints de multimétastases, j'avais une coulée de 14 centimètres dans le ventre, un rein affecté. Le médiastinal était aussi atteint et j'avais des métastases susclaviculaires », énumère le jeune homme, aujourd'hui âgé de 27 ans. Aussi poliment invité par la mort, plusieurs auraient succombé. Pas lui. Chance? Insouciance? À quelques mois de la délivrance, le jeune homme ne sait toujours pas pourquoi il a réussi à s'en sortir. « J'ai tellement reçu de chimiothérapie qu'à la fin, mon corps n'était plus capable d'en prendre… », a-t-il raconté, le regard perdu dans le vide. Carolanne Une petite fille, une enfant « sans cheveux » rencontrée au hasard des couloirs de l'hôpital, a aussi bousculé ses idées préconçues. « Pour elle, les médecins n'avaient toutefois pas beaucoup d'espoir… Plusieurs mois après notre rencontre, elle est entrée dans ma chambre… Elle était blonde. Elle m'a tendu la main en me disant que, pour elle, le cancer était fini. Elle se rappelait de mon nom… », a-t-il relaté, ajoutant que cette rencontre avec Carolanne avait été décisive dans son combat et que l'un des seuls regrets qu'il avait, c'était qu'elle ne le sache pas. « La vie est précieuse » L'autre regret qui l'habite est en lien avec ses proches, à qui il croit avoir fait beaucoup de mal sans le vouloir. Toutefois, malgré la douleur, la peine et les heures sombres, il n'en veut pas à la vie de lui avoir fait ce cadeau empoisonné. « Tant qu'un fil nous tient encore, il ne faut pas baisser les bras. Il ne faut jamais oublier que, demain matin, qu'il pleuve ou qu'il fasse soleil, la vie est précieuse, fragile comme du verre, chiante par moments, mais qu'il vaut mieux en profiter pendant qu'on en fait encore partie. » La définition du cancer qui a affligé Louis Turmel Le choriocarcinome non séminomateux est un cancer des testicules qui se produit dans les cellules qui fabriquent les spermatozoïdes. C'est un cancer agressif qui a tendance à grossir rapidement et à se répandre ailleurs dans le corps comme dans les poumons, le foie, les os et le cerveau. Il touche plus souvent les hommes dans la trentaine. Voici sa propre définition du cancer. « Le cancer, c'est perdre ses cheveux, 40 livres et quelques amis. C'est aussi avoir mal à la vie, mais ce n'est pas juste ça, le cancer. C'est se lever tous les matins avec un goût de fer dans la gueule, avec des veines éclatées et les bras mauves. C'est de ne pas savoir si, demain, on va nous annoncer la mort entre deux patients. C'est trois litres de médicaments par jour, des cauchemars et un mot qui fait peur autour d'une table pendant un souper. »


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  • victime demembree

     

     

     

    Un corps démembré a été retrouvé à l'intérieur d'une valise abandonnée dans un amas de vidanges de l'arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, mardi matin, à Montréal. C'est le concierge de l'immeuble, Michael Nadeau, qui a fait la macabre découverte vers 10h15, inquiet de la forte odeur que dégageaient depuis quelques jours les ordures du bâtiment de la place Lucy, non loin du boulevard Décarie. Il s'est rendu sur les lieux accompagné d'un autre résident de l'immeuble. M. Nadeau, résident de l'immeuble depuis deux ans, a raconté avoir découvert le torse de la victime à l'intérieur du bagage.Selon lui, la valise était sur place depuis au moins une semaine. La semaine dernière, en raison d'une forte accumulation d'ordures, les vidangeurs n'ont pu ramasser la totalité des débris, ce qui explique pourquoi la valise a été laissée pendant plusieurs jours. Ces informations n'ont toutefois pas été confirmées par les policiers. «Le concierge sur les lieux a été rencontré par les enquêteurs», a déclaré Daniel Fortier, porte-parole au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), qui a ajouté que le dossier était toujours traité comme une «mort suspecte».Les enquêteurs des Crimes majeurs du SPVM poursuivaient leur travail sur le terrain afin d'établir les circonstances de la découverte et d'identifier la victime. L'opération s'avérait assez complexe puisque les enquêteurs devaient minutieusement dégager toutes les ordures afin de récupérer le plus d'indices possible. Un large périmètre de sécurité a été érigé sur la place Lucy, où la scène a attiré plusieurs curieux du voisinage. Un chapiteau a d'ailleurs été dressé en plein milieu de la rue afin d'isoler l'inspection judiciaire des spectateurs. La circulation était au ralenti sur le boulevard Décarie en raison de l'achalandage causé par la scène.


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  • VOTER

     

     

     

    La chef du Parti Québécois Pauline Marois était de passage à l’Hôtel de Ville de Morin-Heights, le samedi 26 mai 2012, en compagnie de Roland Richer, candidat péquiste pour le comté d’Argenteuil. Par Judith Plamondon | Agence QMI Les partis politiques québécois prévoyaient mettre les bouchées doubles ce week-end en vue des élections partielles qui se tiennent lundi dans les circonscriptions de Lafontaine et Argenteuil, deux châteaux forts des libéraux. Dans la circonscription de Lafontaine, dans Montréal-Nord, les électeurs seront appelés à élire un successeur à Tony Tomassi, qui a démissionné dans la tourmente ce printemps. Des accusations ont été déposées contre l'ancien ministre libéral, notamment pour fraude et abus de confiance. Le libéral Marc Tanguay tentera de garder cette circonscription aux mains des libéraux. Frédéric St-Jean représente le Parti québécois dans ce comté, Sébastien Rivard porte les couleurs de Québec solidaire et Domenico Cavaliere tentera de se faire élire sous la bannière de la Coalition Avenir Québec. Il s'agit d'ailleurs d'un premier vrai test électoral pour le parti de François Legault, qui n'avait présenté aucun candidat dans Bonaventure en décembre dernier lors de l'élection partielle remportée par les libéraux. Argenteuil Représentant du comté d'Argenteuil dans les Laurentides, le député libéral David Whissell avait annoncé sa démission en décembre. L'ancien ministre du Travail a invoqué «des raisons familiales» pour expliquer sa retraite de la vie politique. Il avait quitté ses fonctions ministérielles en septembre 2009, après avoir refusé de se départir de ses parts dans l'entreprise d'asphaltage de sa famille, ABC Rive-Nord, qui avait obtenu des contrats publics. Le premier ministre Jean Charest était de passage vendredi dans ce bastion libéral pour épauler sa candidate Lise Proulx. La chef du Parti québécois, Pauline Marois, fera campagne dimanche pour tenter de mettre la main sur ce bastion libéral. Aux côtés de son candidat, Roland Richer, la chef péquiste prévoit notamment se rendre à la maison des jeunes de la ville et participer à fête du bon voisinage de Saint-André-d'Argenteuil. La cochef de Québec solidaire Françoise David comptait elle aussi aller rencontrer les électeurs de cette circonscription, dimanche. Son parti tentera de faire élire Yvan Zanetti. C'est l'ancien bloquiste Mario Laframboise qui représente la Coalition Avenir Québec dans ce comté des Laurentides.

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