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  • taux de decrochage

     

    Comme par magie, le taux de décrochage a fondu, dans les écoles du Québec, grâce à la nouvelle méthode de calcul employée par le ministère de l’Éducation. Le gouvernement défend cette manœuvre, mais des experts s’interrogent sur ces nouvelles statistiques, qu’ils jugent « artificielles. »

     

    « C’est un peu comme si, en Santé, on trouvait une façon de calculer le taux d’occupation des salles d’urgence pour dire qu’il n’y a pas tant d’achalandage que ça, ironise le professeur Pierre Potvin, de l’Université du Québec à Trois-Rivières. C’est bizarre, comme méthode. »

    En 2008-2009, le taux de décrochage scolaire était de seulement 18 % dans les écoles secondaires, si l’on se fie à de nouvelles données qui viennent d’être publiées discrètement par le ministère de l’Éducation. Un an plus tôt, le même ministère avait pourtant annoncé que 26 % des jeunes du secondaire étaient des décrocheurs. (voir encadré ci-contre)

    La différence est encore plus frappante chez les garçons inscrits dans les écoles publiques. Entre 2008 et 2009, la proportion de décrocheurs déclarée officiellement par le Ministère, au sein de ce groupe, est passée de 36 % à 26 %.

    Québec a modifié sa méthode de calcul du « taux de décrochage annuel » afin, dit-on, de « mieux refléter » la réalité vécue dans les commissions scolaires. Au lieu de tenir compte des élèves qui sont inscrits à l’école en janvier, le taux est maintenant basé sur les jeunes qui y sont inscrits en août de l’année suivante.

    Ce changement vise à corriger « une entorse méthodologique », dit Jean Tremblay, directeur général des politiques, de la recherche et de la planification stratégique au Ministère.

    Plaintes de commissions scolaires

    Depuis dix ans, Québec mesurait le décrochage en janvier, afin de fournir des données aux commissions scolaires le plus rapidement possible, raconte-t-il.

    Or, certaines commissions scolaires se sont plaintes d’être pénalisées par ce mode de calcul, qui faisait abstraction des jeunes se réinscrivant à l’école après janvier. Le taux de décrochage d’une commission scolaire aurait ainsi été exagéré de 19 points, souligne M. Tremblay.

    « Ce changement a l’air bizarre, j’en conviens, mais le Ministère ne fait pas ça pour avoir de meilleurs chiffres, insiste-t-il. On a changé pour avoir les vrais résultats. »

    Outre ce changement de calcul, de plus en plus d’élèves raccrochent, constate-t-il. « Avec l’ancienne méthode ou la nouvelle, on voit qu’il y a une amélioration depuis quelques années », note Jean Tremblay.

    Malgré la baisse du taux de décrochage provoquée par cette modification— 5% en moyenne, selon M. Tremblay—, l’objectif de 80 % de diplomation à atteindre d’ici 2020 est encore loin de l’être. L’an passé, seuls 71,5 % des Québécois de moins de 20 ans avaient un diplôme, indique-t-il.

    Sont-ils vraiment en classe ?

    Comme son collègue Pierre Potvin, le professeur Égide Royer, de l’Université Laval, n’est pas convaincu du bien-fondé de ce nouveau calcul.

    En entrevue au Journal, il déplore que le gouvernement se fie aux « inscriptions » du mois d’août pour calculer le taux de décrochage, alors qu’il se base sur le nombre d’élèves en classe le 30 septembre pour fixer le financement des commissions scolaires.

    « S’il y a bien une clientèle qui n’est pas sûre d’être en classe en septembre, c’est bien la clientèle des jeunes en difficulté », fait valoir M. Royer.

    Le fameux objectif de 80 %

    √ C’est le taux de diplomation que vise le gouvernement Charest d’ici à 2020, chez les jeunes de moins de 20 ans.

    √ Cet objectif, qui a été annoncé en septembre 2009, concerne l’ensemble des Québécois de moins de 20 ans, pas seulement les jeunes qui fréquentent les écoles secondaires régulières.

    √ En 2008-2009, 71,5 % des jeunes de moins de 20 ans avaient un diplôme ou une qualification en poche.

    N.B. : Le changement de calcul effectué par le Ministère affecte seulement le «taux annuel de décrochage», qui tient compte uniquement des élèves qui sortent de la formation générale des jeunes (et non de la formation générale des adultes ou de la formation professionnelle).

     


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  • Addington

     

     

    Le canton de Addington Highlands

    Addington HighlandsLe canton de Addington Highlands est une municipalité rurale située dans la partie nord du comté de Lennox and Addington. Le canton actuel comprend les cantons fusionnés de Kaladar, Anglesea, Effingham, Denbigh, Ashby et Abinger. Il comprend environ 142 000 hectares de terre, dont 70 % appartiennent à la Couronne et compte une population de 2 400 habitants permanents et d'environ 3 500 habitants saisonniers.

    TreesSes magnifiques paysages, qui font partie de la Land O' Lakes Tourist Area, se caractérisent par un terrain vallonné, de nombreux affleurements rocheux, de vastes forêts mélangées et plus de 100 lacs et rivières offrant en abondance des possibilités de camping, de randonnée, d'escalade, de promenade à bicyclette ou en motoneige, de natation, de navigation de plaisance, de pêche et de chasse.

    TreesLe canton est situé à égale distance entre Ottawa et Toronto et à une heure de route de Belleville et de Kingston. La municipalité elle-même englobe cinq petites collectivités – Kaladar, Flinton, Northbrook, Cloyne et Denbigh – proposant toutes une grande variété de services.

    Le canton compte deux bibliothèques – l'une située à Flinton et l'autre à Denbigh. Toutes deux proposent les services mobiles de Service Canada et de Service Ontario et fonctionnent gratuitement en tant que centres du Programme d'accès communautaire (PAC). Ces établissements sont accessibles aux personnes handicapées et disposent d'une vaste gamme de livres en gros caractères et de DVD, ainsi que d'un accès haut débit à Internet.

    TreesLe centre médical de Northbrook est une clinique médicale complète, disposant d'un médecin, d'un laboratoire, d'un dispensaire et d'un dentiste. La maison de soins infirmiers Pine Meadow est également située à Northbrook. Parmi les autres services disponibles dans le village figurent une épicerie, une quincaillerie et une banque.

    Les bureaux du canton sont situés au niveau inférieur du centre de loisirs de Flinton, 72, rue Edward.

     


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