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  • eastbroughton

     

     

     

     

    East Broughton est une municipalité de 2 365 habitants dans la municipalité régionale de comté des Appalaches au Québec. Elle est située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches1. Le recensement de 2006 y dénombre 2 351 habitants East Broughton, situé aux confins de la Beauce, est borné au nord et au nord-est par Saint-Pierre-de-Broughton; à l'est par Tring-Jonction et Saint-Jules; au sud par Saint-Victor et Sainte-Clotilde; à l'ouest par le canton de Thetford du comté de Mégantic. La route 112, la plus belle de la Beauce, ainsi que la voie ferrée du Québec Central traversent la municipalité de l'est à l'ouest. East Broughton est situé dans une région des plaines. Les terres sont sablonneuses en grande partie parce qu'elles ont été formées par le travail des glaciers. Ils ont nivelé les hauts sommets des Appalaches, creusé des vallées et déposé un peu partout des cailloux innombrables que des générations successives de rudes travailleurs peinent à ramasser, sans jamais voir leur rude besogne terminée. Beauce et Frontenac sont probablement les districts les plus rocailleux du Québec, mais en retour, la terre accorde beaucoup à l'homme qui a eu le courage de la fouiller avec constance et générosité. Le boisé est surtout formé d'érables, de merisiers, de hêtres, de sapins, d'épinettes et d'un peu de cèdres. Les cultivateurs s'adonnent à la grande culture, à l'industrie laitière, à l'élevage et très peu à la culture maraîchère. Au moins la moitié d'entre eux possèdent une érablière. Il y a ici et là de petites rivières. On en voit au 9e rang, au 7e et au 5e. La rivière Broughton passe entre la voie ferrée et le village, contournant ce dernier, et creuse de plus en plus sa vaste vallée vers le sud-est. Résidus de la mine Quebec Asbestos (1895-1958) East Broughton fait partie de la région qui possède les rares mines d'amiante chrysotile du Canada. On y a exploité ce minerai de 1881 à 1986. Ces mines sont très importantes puisqu'elles produisent une large portion de la production mondiale. À cause de cette industrie, la paroisse a bien des points de ressemblance et d'intérêts avec Thetford Mines, ce qui explique qu'il y a beaucoup plus de rapports avec cette ville et sa région qu'avec le reste de la Beauce


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  • shawinigan

     

     

     

    Shawinigan (API: /ʃawiniɡan/) est une ville de la Mauricie, au Québec (Canada)1. C'est la 18e ville la plus peuplée du Québec avec 51 904 habitants en 20062. L'agglomération de recensement comptait alors 56 434 habitants Shawinigan est située au centre de la Mauricie, dans un crochet de la rivière Saint-Maurice. Elle est à une trentaine de kilomètres au nord de Trois-Rivières. Le territoire de la ville comprend le parc national de la Mauricie, qui se trouve au nord de celle-ci. La plus vieille caserne de pompiers se situe sur la rue St-Marc Avant la création de Shawinigan, il y a un peu plus de cent ans, les autochtones de la région appelaient déjà ce coin de pays Chaouinigane, Oshaouinigane, Assaouinigane, Chawinigame, Shawenigane, Chaouénigane ou encore Achawénégan4. Selon l’historien Fabien La Rochelle, cette appellation fait surtout référence à un portage. L’orthographe actuelle daterait de 1816 et son auteur serait Francis Hall, un officier britannique qui a séjourné dans la région. Il existe néanmoins plusieurs interprétations des quelques termes amérindiens : « haut de la crête », « portage sur la crête », « colline aux deux passages », et d'autres encore. Pour d'autres, le mot « shawenegan » évoque le chas d'une aiguille, en référence aux gorges étroites au pied des chutes de Shawinigan5. En abénaqui, les lieux sont dénommés Azawanigan, ce qui signifie le « portage en pente Avant l'existence même de la ville, d'intenses activités de coupe forestière se déroulaient en Mauricie, comptant pour 20 % de tout le bois d'œuvre du Québec. Les essences de pin et d'épinette étaient particulièrement recherchées. Le transport des billes de bois se faisait par voie d'eau sur le Saint-Maurice. Par ailleurs, les chutes de Shawinigan ayant un fort dénivelé, le bois risquait d'être fortement endommagé lors de son passage. Ainsi, en 1853, le premier aménagement bâti à Shawinigan fut une glissoire à billes de bois de 185 mètres de longueur. Bien que facilité par la glissoire, le passage des billes nécessitait tout de même la supervision de draveurs. Le premier contre-maître d'une équipe de draveurs, François Rousseau, est arrivé en 1854. Il a également été le premier résident sur le territoire de la future ville de Shawinigan. La singularité des chutes de Shawinigan a également attiré de nombreux visiteurs, dont les membres d'équipage du vaisseau La Capricieuse, ancré à Trois-Rivières. Joseph-Édouard Turcotte, le maire de Trois-Rivières en 1857, a entamé la construction d'un immense hôtel en bordure des chutes, le Château Turcotte, qui allait compter plus de 100 chambres. Cet ambitieux projet n'a pas été terminé selon la conception originale et la construction a pris fin à 60 chambres. Le bâtiment lui-même a été détruit par un incendie causé par la foudre en 1878. Une autre construction, lancée par le juge Henri-Gédéon Mailhot et nommée « Hôtel Mailhot », a été érigée en 1888. L'établissement offrait une chambre pour un dollar par jour. Victime d'un sort analogue à celui du château Turcotte, il a été détruit par un incendie en 1906. À la fin du xixe siècle, le Québec entrait dans la deuxième phase de son industrialisation. De nombreuses usines transformaient les ressources naturelles en matières premières ou en biens de consommation, ce qui exigeait des quantités colossales d'énergie électrique. Par son emplacement géographique, le site de Shawinigan proposait un potentiel hydroélectrique important. C'est en 1898, avec la Shawinigan Water and Power Company, que la construction d'une centrale a débuté. La ville de Shawinigan a été incorporée en 1901 sous le nom de Shawinigan Falls. Dès 1902, la Shawinigan Water and Power Company installait d'immenses alternateurs - parmi les plus forts au monde - d'une puissance de plus de 3 700 kW6. Cette installation alimentait directement la ville de Montréal, à l'époque la plus populeuse du Canada, grâce à une ligne de 50 kV. Cette ligne était également la plus longue de l'est de l'Amérique du Nord pour le temps, avec 135 km. Les coûts de transport d'électricité étant élevés à cause des pertes par effet joule dans les lignes, les grands consommateurs (Shawinigan Carbide, Belgo Canadian Pulp & Paper Company, Northern Aluminium Company) se sont établies en grand nombre dans la ville de Shawinigan Falls durant les années qui ont suivi la mise en service de la centrale. Même si le développement urbain entourant la centrale drainait une puissance toujours grandissante, l'essentiel de la production demeurait consacré aux grands clients industriels. La Shawinigan Water and Power Company a continué de bâtir des groupes turbo-alternateurs jusque dans les années 1940. En 1946, il existait neuf centrales sur la rivière Saint-Maurice. L'importance économique de la Shawinigan Water and Power Company en faisait de facto le maître d'œuvre de son développement urbain. Appartenant à des intérêts américains, la compagnie a adopté un schéma d'urbanisme conçu par la firme montréalaise Pringle & Sons. Ce plan était composé de rues disposées à la manière d'une grille, laissant de vastes espaces pour de futurs développements industriels. Ces derniers étaient placés de part et d'autre du chemin de fer de façon à ne pas nuire au réseau routier. Les zones résidentielles ont été disposées de manière à accommoder une population future de 20 000 âmes. La conception du secteur Shawinigan de la ville respecte d'ailleurs toujours l'essentiel du plan Pringle. La construction des routes, du chemin de fer, des centrales électriques, des usines, des commerces et des résidences a débuté en 1899. Elle était déjà terminée en 1901 grâce aux efforts de plus de 1 500 employés. Dès cette époque, Shawinigan aurait eu un tramway électrique (1901). En fait, dans son numéro du 11 juin 1901, le journal Le Trifluvien de Trois-Rivières annonce, dans un entrefilet, que Shawinigan Falls est en liesse car son nouveau tramway électrique circule dans les rues. Développement de l'industrie des pâtes et papiers[modifier] La première usine de pâtes et papiers a été bâtie en 1887 par la Laurentide Pulp Company, sur une initiative de John Forman, un homme d'affaires montréalais. Elle est la pionnière canadienne de la production de papier journal. L'expansion de l'usine a énormément contribué à la croissance de Grand-Mère. Elle est toujours en activité aujourd'hui et compte environ 500 employés. Dès août 1900, la Banque d'Outremer, de Bruxelles, planifiait la construction de la première usine de pâtes et papiers de Shawinigan, la Belgo Canadian Pulp Company. À l'origine, la puissance électrique nécessaire allait être de 15 000 ch. La construction, toutefois, a duré plus longtemps que prévu et la banque, tentée de se retirer du projet, a dépêché l'ingénieur Hubert Biermans pour apprécier la situation. Celui-ci a rapidement évalué le potentiel de la région et jugé que l'investissement serait viable. Son témoignage a convaincu la Banque d'Outremer d'investir davantage.


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  • Vancouver

    Vancouver (prononcé [vɑ̃.ku.vɛʁ] en français et [væŋ.ˈkuː.vɚ] ou [væn.ˈkuː.vɚ] écouter (anglais canadien) écouter (anglais des É.-U.A.) en anglais) est une ville portuaire du Canada, la plus importante de l'Ouest canadien, située dans la province de la Colombie-Britannique. Elle a été nommée en 1886 en hommage au capitaine de marine britannique George Vancouver1 qui a exploré la région vers la fin du xviiie siècle. Elle fut, du 12 au 28 février 2010, l'hôte des XXIe Jeux olympiques d'hiver. Elle est la métropole du Greater Vancouver Regional District (GVRD), le district de la région connue sous le nom de Lower Mainland, ou (depuis 2006) Metro Vancouver, où vivent quelque 2 200 000 personnes (2004). Vancouver est la troisième agglomération la plus importante du Canada (Après Toronto et Montréal) et la capitale économique de la Colombie-Britannique. La ville et sa région sont actuellement en grand changement et possèdent plusieurs projets en cours ainsi que bon nombre d'évènements en branle : les Jeux olympiques et paralympiques en 2010 ; le réaménagement des anciens locaux du grand magasin Woodwards ; la création d'une nouvelle ligne de métro comprenant seize stations pour 2009, reliant Richmond et l'aéroport au centre ville ; les nombreux projets liés aux transports comme la construction d'un nouveau pont à six voies le Golden Ears ; l’expansion du Palais des congrès de Vancouver ; les développements immobiliers le long de False Creek ; le village international et la « City Gate », etc. la reconstitution de la ville de Vancouver pour la fusionnner avec d'autres villes avoisinantes Située presque à l’extrême sud-ouest du Canada (49 ° de latitude Nord et 123 ° de longitude Ouest), Vancouver est construite sur le delta du fleuve Fraser, et est bordée par le détroit de Georgia et la Chaîne côtière. Les montagnes s’élèvent à plus de 1 500 mètres le long du Howe Sound et du corridor « Sea to Sky ». Les précipitations abondantes ont fait de la région de Vancouver un endroit où la végétation est luxuriante, où les arbres sont gigantesques et où de multiples jardins fleurissent. Cependant, les éléments naturels qui composent sa région restreignent l’espace disponible pour l’urbanisation ce qui fait aujourd’hui de Vancouver une ville compacte, centralisée et où la densité du centre-ville est l’une des plus forte du continent nord-américain. Actuellement, plus de 600 000 personnes ont élu domicile à Vancouver. L’agglomération dépasse les deux millions d’habitants et englobe un territoire de 2 900 km2, divisé en vingt et une municipalités situées à l’intérieur ou dans les environs du delta du Fraser. Certaines de ces municipalités se trouvent également plus au nord, le long du Howe Sound et du Burrard Inlet. L’agglomération rejoint la frontière avec les États-Unis qui est située à 38 km du centre-ville. Vancouver est située dans la zone horaire pacifique (UTC−08:00). Elle est adjacente au détroit de Georgie qui la sépare de l'île de Vancouver et qui est relié à l'océan Pacifique. L'écosystème très riche de la région a procuré une variété de nourriture et de matériaux qui ont permis à une importante population d'amérindiens d'y vivre pendant plus de 10 000 ans. Un camp nommé « Wu'muthkweyum » (Musqueam), signifiant « peuple de l'herbe », près de l'embouchure du fleuve Fraser, remonte à 3 000 ans. Les Squamishs vivaient dans des villages de la zone côtière. Le capitaine espagnol José María Narváez fut le premier Européen à explorer le détroit de Géorgie en 1791. L'année suivante, en 1792, le capitaine de marine britannique George Vancouver, de King's Lynn dans le Norfolk en Angleterre, rejoint l'expédition espagnole basée au fjord de Nootka sur la côte ouest de l'île de Vancouver puis explore le détroit de Géorgie, ainsi que Puget Sound. C'est lui qui prouvera, en compagnie de l'espagnol Dionisio Alcalá Galiano, que l'île de Vancouver est bien une île : d'où le nom de Vancouver en guise de reconnaissance (en fait le nom donné originellement à l'île était « île de Quadra et Vancouver », du nom de l'explorateur espagnol Juan Francisco de la Bodega y Quadra). La coupe des arbres notamment pour les mâts des navires fut la première industrie le long de la baie Burrard, où se situe aujourd'hui le port de Vancouver. La première scierie commença ses activités en 1863 à Moodyville (rebaptisée « North Vancouver » en 1915). La première exportation de bois de construction eut lieu en 1865 vers l'Australie. Gastown, nommé d'après l'hôtelier Jack Deighton (surnommé Gassy Jack), fut une des premières places peuplées par les colons britanniques. On fit un arpentage le long de la baie Burrard (Burrard Inlet) pour une ville qui porterait le nom de « Hastings » et en 1870 ce fut le site d'une scierie appelée Hastings Mill. En 1870 le gouvernement colonial fit un arpentage pour une autre ville à Burrard Inlet qui serait nommé « Granville » à l'ouest de Gastown. En 1885, Granville, rebaptisé Vancouver en 1886, fut choisie par l'entreprise de chemin de fer Canadien Pacifique pour être la gare terminus la plus à l'ouest. L'arrivée du chemin de fer après une construction épique, stimulée par une compétition farouche, à travers les Rocheuses, permit une expansion rapide en raison de l'accès aux marchés d'Asie ainsi que le marché continental. Une des locomotives qui participèrent à cet âge héroïque est de nos jours exposée dans le centre communautaire Round House sur le boulevard Pacifique dans Yaletown. Vancouver dépassa la capitale provinciale Victoria en population vers 1890 et elle est restée la ville la plus importante de la Colombie-Britannique jusqu'à nos jours. Le climat de Vancouver est de type climat océanique, semblable à celui de Seattle, métropole américaine située à environ 300 km au sud. Les mois d'été sont en général ensoleillés et agréablement chauds. Vancouver a le climat le plus doux du Canada avec en hiver 7-8 °C l'après-midi et 2 °C la nuit. La neige y tombe 11 jours par an en moyenne et elle ne tient souvent pas plus d'un jour. Il y tombe 1 200 mm au m2 de pluie par an, et il y environ 2 000 heures d'ensoleillement par an, ou plus précisément, 11 mégajoules par mètre carré par jour en moyenne2, soit autant qu'à Paris


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